12 septembre 2018

  • Un regard qui change tout (3)

    “La fille du pharaon descendit se baigner dans le Nil. Elle aperçut la corbeille, l’ouvrit et vit l’enfant… Elle voulait l’épargner.” Ex 2. 5-6

    L

    e Nil est un long fleuve. Or, c’est justement là où se trouve la corbeille à l’enfant, déposée par Yokèbed la mère, qu’arrive la fille du pharaon pour se baigner. La princesse découvre l’étonnant panier et lorsqu’elle se penche sur son contenu, “elle vit l’enfant : c’était un petit garçon qui pleurait. Elle voulait l’épargner, mais elle dit : C’est un des enfants des Hébreux !…” La princesse a tout compris et sa décision est déjà forte : elle veut l’épargner. Pourtant, elle ne peut pas ignorer la position de son père qui a donné l’ordre de faire jeter dans le fleuve tout enfant mâle naissant dans le camp des Hébreux. Pour elle, aucun doute: l’enfant qui pleure est condamné à mort par son père le pharaon. Sauver l’enfant, c’est enfreindre ses ordres et risquer sa colère ; c’est entrer en opposition, pour ne pas dire en rébellion. C’est alors qu’intervient Myriam, la soeur du bébé. Elle surgit et, oubliant sa simple condition face à une princesse, propose de trouver une nourrice parmi les femmes des Hébreux. L’Egyptienne pourrait chercher et trouver une nourrice dans son propre peuple, mais en acceptant l’offre de Myriam, elle prend totalement position contre son père. Qu’est-ce qui la pousse à agir ainsi ? Difficile de le dire, mais il est clair que, confrontée aux pleurs du petit garçon de trois mois, elle est face à une réalité qui prend tout son sens. Peut-être mesure-t-elle pour la première fois l’horreur des ordres de son père, et face à cette injustice, décide-t-elle de prendre une position qui peut aussi devenir une menace pour elle. Sans doute ne sait-elle pas qu’en épargnant cet enfant, elle sauve tout un peuple. Faut-il le savoir pour oser faire une bonne action ? La moindre de nos décisions peut avoir des répercussions immenses dans l’histoire de l’humanité, mais il faut toujours oser s’opposer à l’injustice et à l’horreur.


    Bible en 1 an : Ct 7-8 & 2 Co 7
    Bible en 2 ans : Nb 12 & 1 P 1

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  • A che punto è la battaglia?

    Il generale Franco prese Madrid, perché aveva 4 colonne di soldati all’interno, ed una all’esterno. Fu quest’ultima che provocò la presa della città! Figlio di Dio, tu non sarai mai vinto a meno che tu non sia vinto al tuo interno. Lì l’attacco sarà più duro! E se non te l’aspetti, non sarai pronto a rispondere. Mentre Sansone dormiva, Dalila gli tolse la forza. Mentre i servi dormivano, il nemico venne e seminò la zizzania nel campo di grano. Pietro ha detto: «Siate sobri, vegliate; il vostro avversario, il diavolo, gira come un leone ruggente cercando chi possa divorare.» (1 Pietro 5:8).Non cercare i demoni sotto i mobili della tua casa, ma sii vigilante! Paolo scrisse la lettera ai Tessalonicesi per dire loro: «Perciò più volte abbiamo voluto, almeno io, Paolo, venire da voi; ma Satana ce lo ha impedito.» (1 Tessalonicesi 2:18)Se Satana poteva avere successo contro Paolo, immagina quanto può fare contro te! Colui che poteva ritardare la risposta alla preghiera di Daniele per 21 giorni, possiede una potenza che non possiamo sottovalutare (Daniele 10:13).Uno dei suoi stratagemmi è di utilizzare il vecchio grano che ha seminato in te durante la tua infanzia, e che sta a te strappare, come la zizzania in mezzo al grano, prima che essa distrugga il tuo futuro.Ad esempio, se tu credi che non sei degno di Lui, non ti avvicinerai con coraggio al trono della grazia e non otterrai ciò che ha promesso per te (Ebrei 4:16)Strappa dunque l’erba cattiva che cresce dentro di te, prima che sia troppo tardi. Dichiara insieme a Davide, con convinzione: «So che Dio è per me.» (Salmi 56:9)Oggi devi essere sicuro! Dio è dalla tua parte!

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