12 février 2019

  • Il a souffert la douleur du rejet

    Avec musique
    Sans musique

    “L’homme et sa femme allèrent se cacher… Le Seigneur Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ?” Gn 3. 8-9

    Avez-vous souffert de la mort d’une relation qui vous semblait parfaite et intense, mais qui un jour s’est brisée sans que vous l’ayez pressenti ? Avez-vous aimé quelqu’un de toute votre âme pour découvrir que cet amour était sans issue ? Si tel est le cas, vous savez combien grande est la douleur d’un cœur brisé d’avoir trop aimé et trop fait confiance à l’autre. Cette peine est peut- être plus profonde et déchirante que celle causée par la mort d’un être cher avec qui nous avons passé des années heureuses, car les souvenirs qui restent ne sont faits que d’amertume et de regrets. Maintenant, réfléchissez à ce qu’a dû ressentir Dieu le matin où Il est venu à la rencontre d’Adam et qu’Il a découvert que ce dernier s’était caché loin de lui ! Dieu l’appela pour lui de- mander où il était, parce que cet endroit était inconnu de Dieu. Dieu ne connaît pas le péché, Il n’est jamais entré dans ce domaine où évolue Satan. Il ne pouvait aller trouver Adam et Eve dans cette obscurité où ils s’étaient cachés. A ce moment de l’histoire humaine, une relation d’amour intense venait de se briser. Dieu ne pouvait plus faire confiance en Adam, celui-ci avait préféré la compagnie d’un autre. Comme un amant qui découvre l’infidélité de celle qu’il aimait plus que tout, Dieu s’est senti rejeté, méprisé, abandonné. Son premier sentiment, comme celui de tout amant rejeté, est d’exprimer de la colère : “Le Seigneur les renvoya du jardin d’Eden…” (v. 23). Qu’a-t-Il fait ensuite ? Peut-être s’est-Il assis dans un coin du jardin pour réfléchir : “Cet amour est fini, il n’y a aucun espoir, ils M’ont rejeté et Je ne compte plus pour eux. Devrais-Je tourner la page et oublier cette relation entre nous ? Ou dois-je trouver un moyen de restaurer cette relation ? L’homme est trop faible pour revenir à Moi. Pour restaurer cet amour entre nous et lui faire bénéficier des joies et avantages que J’aurais voulu lui donner, c’est à Moi de trouver un moyen !” Et Dieu a commencé à tenir un agenda pour tracer un fil d’Ariane à travers l’Histoire qui mènerait un jour à Christ. Cet agenda, c’est votre Bible !

    Bible en 1 an : Nb 5-6 & Jn 9

    Bible en 2 ans : Es 23-24

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  • Accetta il nome che Dio ti dà!

    Prima di morire per le conseguenze del parto, Rachele, la moglie di Giacobbe, decise di dare al suo figlio il nome di Ben-Oni, che significa «figlio del mio dolore». I nomi della Bibbia hanno un valore profetico. Infatti, dopo il funerale di Rachele, Giacobbe annunciò che il bambino non si sarebbe chiamato Ben-Oni (figlio del mio dolore) ma Beniamino (figlio della mia mano destra)! “Lui è la mia forza, non il mio dolore” affermò. E com’è conosciuto ai giorni nostri? Beniamino, certamente! Anche tu sei quello che il tuo Padre celeste dichiara di volere che tu sia! Non dimenticare mai come ti chiama Lui!
    Forse assomiglierai a Anania, Misael e Azaria? Li conosci meglio con i loro nomi pagani che diede loro Nabucodonosor? Sadrac (= sotto l’ordine di Aku), Mesac (= nome di dio pagano), e Abed-Nego (= servitore di Nego). Questi nomi corrispondevano all’adorazione di dei babilonesi. Ma il vero nome dei giovani Ebrei erano: Anania (= “Dio è pieno di compassione”), Misael (= “Chi è simile a Dio?”) e Azaria (= “Dio ci ha soccorso”). Quando furono buttati nella fornace ardente, ne uscirono con il loro vero nome! È nelle circostanze della vita che prevarrà il tuo vero nome. Rallegrati se l’opinione degli altri non determina il tuo destino! È l’opinione di Dio nei tuoi confronti che importa di più. Il vecchio re pagano tentò di cambiare i nomi dei giovani ebrei, ma non poté cambiare i loro cuori. Immagina i tre adolescenti mentre escono dalla fornace e proclamano il loro vero nome! Il primo esclama: “Dio è pieno di compassione”; il secondo, alzando le mani al cielo: “Chi è simile a Dio?” e l’ultimo, dopo aver annusato i propri vestiti e tastato i suoi capelli neanche un po’ abbrustoliti: “Dio ci ha soccorso”. Ora tocca a te, pieno di coraggio, procedi in avanti sulla scena e proclama il nome che Dio ti ha dato!

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