20 mars 2019

  • On l’appelle “l’enfant gaspilleur” (3)

    Avec musique
    Sans musique

    “Tandis qu’il était encore assez loin de la maison, son père le vit… il courut à sa rencontre, le serra contre lui et l’embrassa” Lc 15.20

    Notez qu’une grande distance les sépare encore, pourtant le père le voit et court à sa rencontre, probablement pour lui éviter l’humiliation de la Kezazah. Agissant ainsi, il fait ce qu’aucun digne patriarche n’aurait fait : courir en relevant sa robe et donc en dévoilant ses jambes et faire le premier pas vers celui qui lui avait causé douleur et humiliation. Mais n’est- ce pas ce que Dieu a fait pour nous ? Paul écrit : “Il n’y a pas de juste, pas même un seul… il n’y en a pas un qui recherche Dieu. Tous se sont égarés, ensemble ils se sont pervertis, il n’y en a pas un qui fasse le bien, il n’y en a pas même un seul” (Rm 3. 11). Pas plus que le fils prodigue, nous ne méritions que Dieu coure vers nous pour nous embrasser et nous serrer contre Lui. Il faut remarquer en passant que le jeune homme ne fait pas vraiment preuve de repentance, quand il s’adresse à son père. S’il revient, c’est avant tout pour ne pas mourir de faim, pas pour rétablir une relation d’amour et de respect avec son père. D’aucuns ont mis en parallèle les mots du fils prodigue “Mon père, j’ai péché contre Dieu et contre toi” (v. 21) avec les mots du Pharaon à Moïse : “J’ai péché contre le Seigneur, votre Dieu, et contre vous” (Ex 10. 16). Qui oserait affirmer que le Pharaon regrettait son péché envers Dieu ? Malgré ce manque de repentance, le père du fils prodigue l’embrasse, signe de pardon, le revêt de sa propre robe, signe d’honneur et de respect, enfile une bague à son doigt, signe d’autorité, et lui procure des sandales, pour le différencier des esclaves qui allaient en général nu-pieds. Pour couronner le tout, il fait tuer et préparer le meilleur morceau de viande disponible sur le domaine. Le plan du salut divin exclut toute action de notre part. Le “gaspilleur”, le bon-à-rien, n’avait qu’à revenir pour être accepté par son père. Ce dernier n’avait jamais perdu espoir. Dieu non plus ne perd pas l’espoir de voir revenir à Lui Ses enfants égarés. La repentance viendra plus tard ! Aujourd’hui, hâtez-vous de venir vous réfugier dans Ses bras !

    B-1 an : Ps 33-36

    B-2 ans : Dt 15 & Ps 85

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  • Affare fatto!

    Se hai qualche dubbio riguardo la tua salvezza, comprendi bene questo: dall’istante in cui hai dato fiducia a Gesù Cristo accettandolo come tuo Salvatore, il Suo sangue ti ha lavato definitivamente da ogni peccato. Da quel momento hai “ricevuto un sigillo” quello dello Spirito Santo che garantisce quello che Dio ti ha promesso, cioè la tua salvezza. La Bibbia afferma: «E voi non avete ricevuto uno spirito di servitù per ricadere nella paura, ma avete ricevuto lo Spirito di adozione, mediante il quale gridiamo: «Abbà! Padre!» Lo Spirito stesso attesta insieme con il nostro spirito che siamo figli di Dio. Se siamo figli, siamo anche eredi; eredi di Dio e coeredi di Cristo, se veramente soffriamo con lui, per essere anche glorificati con lui.» (Romani 8:15-17)
    Nel libro di Ruth leggiamo: «C’era in Israele quest’antica usanza, per render valido un contratto di riscatto o di cessione di proprietà: uno si toglieva la scarpa e la dava all’altro; era il modo di testimoniare in Israele.» (Ruth 4:7) Nota questo dettaglio: chi effettuava il riscatto prendeva il sandalo che l’altro gli porgeva e se lo infilava al piede, indicando in questo modo che era pronto a prendere il suo posto. È esattamente quello che Gesù fece sulla croce. Prese il nostro posto nelle nostre scarpe perché potessimo stare di fronte a Dio nelle Sue, riscattate e giustificate da ogni peccato! Non permettere ai dubbi di rovinarti la gioia, rifiuta di dare ascolto alle tue impressioni e alle tue emozioni. Una volta per tutte, decidi di credere senza dubitare quello che Dio afferma, se no continuerai sempre a chiederti se davvero sei salvato!
    Studia la Parola di Dio per poter dire con ferma certezza: «perché so in chi ho creduto, e sono convinto che egli ha il potere di custodire il mio deposito fino a quel giorno.» (2 Timoteo 1:12)
    Hai posto la tua fiducia in Cristo, considerandolo come tuo Salvatore? Se rispondi sì a questa domanda, allora non dubitare più: sei salvato, l’affare è stato concluso una volta per tutte!

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