25 août 2019

  • Vos fardeaux sont-ils trop lourds ?

    Avec musique
    Sans musique

    “Oui, Mon joug est facile à porter et Mon fardeau léger” Mt 11. 30

    Imaginez-vous en train de gravir la pente très raide d’une montagne, un énorme fardeau attaché à vos épaules. Le chemin est escarpé, plein d’obstacles et vous trébuchez souvent. Ne pouvez-vous pas vous débarrasser de votre fardeau ? Ne serait-il pas plus intelligent de continuer votre ascension les épaules libérées de ce poids inutile ? C’est ce que Dieu vous propose : “Décharge-toi de ton fardeau sur le Seigneur, et Il pourvoira à tous tes besoins ; Il ne laissera jamais le juste vaciller” (Ps 55. 22). Jésus ne vous a jamais demandé de porter un trop lourd fardeau. Lui seul peut en assumer le poids. Connaissez-vous l’histoire de cette vieille femme qui avançait sur un chemin, courbée sous le poids d’une énorme botte de foin posée sur ses épaules ? Un paysan qui passait sur le même chemin lui offre de monter sur sa charrette, pour lui alléger la charge. Celle-ci accepte l’offre, et grimpe sur le banc, à côté du paysan, tout en gardant son fardeau sur ses épaules ! Ne faisons-nous pas souvent la même chose en refusant d’abandonner nos problèmes entre les mains de Jésus. Pourquoi agissons-nous ainsi ? 1- Souvent par fierté. Nous voulons assumer nos mauvais choix et nous nous entêtons à aller de l’avant, espérant nous en sortir tout seuls. 2- Par peur de ne plus rien contrôler. Mais faire confiance à Dieu ne signifie pas que nous devons rester inactifs. Le grimpeur encordé à celui qui marche devant lui sait que ce dernier est plus expérimenté que lui et que s’il dévisse, il pourra lui sauver la vie. 3- Par refus de confesser nos péchés. “Rejetons tout fardeau et le péché qui nous enlace si facilement, et courons avec persévérance l’épreuve qui nous est proposée” (He 12. 1). Jésus connaît notre situation. Tout peut changer si nous Lui laissons prendre les rênes de la situation. Aucun fardeau n’est trop lourd pour Lui !

    B-1 an : Pr 14-15 & 1 Co 8

    B-2 ans : Ps 104 & Mt 28

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  • La pace

    Catherine Marshall ha raccontato questa storia.
    “Un giorno, un re decise di offrire un premio all’artista che avrebbe rappresentato meglio la pace in un quadro. Parteciparono in molti alla competizione, ma solamente due tele attirarono l’attenzione del regnante. La prima rappresentava un lago tranquillo senza increspature sull’acqua, uno specchio perfetto in cui si riflettevano le vette maestose del secondo piano. Sopra un cielo blu decorato da qualche nube bianca leggera come cotone. Anche sull’altro quadro si vedevano delle montagne. Ma queste erano rugose e nude. Un cielo cupo e sinistro le schiacciava, gonfio di pioggia e zebrato da lampi violenti. Ai piedi delle montagne scorreva una cascata. Su questo quadro, a prima vista, nulla sembrava ispirare pace. Ma quando il re lo guardò più da vicino, notò oltre la cascata, un arbusto minuscolo aggrappato a una fessura della roccia. Un uccellino vi aveva costruito il nido. Nonostante la cascata che ribolliva poco lontano, era accucciato nel suo nido, e ispirava una pace perfetta. Secondo voi quale dei due vinse la competizione? Il re assegnò il premio al secondo spiegando: “La pace non significa trovarsi in un luogo dove non ci sono né suoni, né difficoltà, né duro lavoro. La pace è trovarsi in mezzo a un sacco di cose e, malgrado quelle, mantenere un cuore sereno.”
    Prima o poi, scopriamo tutti che la vita non offre nessun rifugio pacifico senza nessun temporale. Scopriamo anche che la pace non è l’assenza di temporali, ma la sicurezza della presenza di Dio e della Sua protezione in seno stesso degli uragani, la certezza che la nostra fede e il nostro carattere si sviluppano grazie ad essi e, infine, la Sua promessa incrollabile di renderci in questa maniera più forti e più saggi.

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