3 novembre 2019

  • La grâce selon la Bible (2)

    Avec musique
    Sans musique

    “Ce qui était impossible à la loi… Dieu l’a fait en envoyant Son propre Fils…” Rm 8. 3

    Lorsque l’on parle de la grâce commune et de la grâce salvatrice (qui sauve), on ne veut pas dire qu’il existe deux grâces distinctes. De fait, il faut comprendre que la grâce de Dieu se manifeste de deux manières dans le monde. La grâce commune est différente de la grâce salvatrice justement à cause de ses effets. Elle n’aboutit pas obligatoirement au salut de la personne qui en bénéficie. Pourtant, tous les hommes en sont destinataires. Jésus déclare : “Votre père céleste fait luire Son soleil sur les méchants aussi bien que sur les bons…” (Mt 5. 44). Il présente cette grâce comme un encouragement pour les disciples à aimer les non-croyants. C’est sans doute ainsi que les choses s’articulent lorsque Joseph l’Hébreu est vendu comme esclave à l’Égyptien Potiphar. Dès lors, la grâce qui sauve rayonne et met en lumière la grâce commune: “À partir de ce moment-là, Dieu bénit la maison de l’Égyptien à cause de Joseph. Sa bénédiction reposait sur tout ce qu’il possédait” (Gn 39. 5). L’apôtre Paul rend hommage à cette grâce commune universelle lorsqu’il explique : “Dans les temps passés, Il a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies. Pourtant, Il s’est toujours manifesté par le bien qu’Il fait : du ciel, Il vous donne les pluies et les récoltes en leurs saisons, Il vous accorde la nourriture…” (Ac 14. 16-17). C’est la nature qui nous donne encore une illustration de la grâce commune, laquelle s’étend donc jusque sur la création tout entière. Malgré la malédiction de Genèse 3. 17-19, la nature ne produit pas que des épines et des déserts. Même si elle est, elle aussi, soumise à la corruption et à la vanité (Rm 8. 21) et si elle soupire et espère le retour du Christ, elle demeure splendide. De la fleur aux couleurs chatoyantes aux magnifiques couchers de soleil, des forêts bruissantes de vies aux montagnes vertigineuses, la nature parle autant de la grandeur et de la puissance de Dieu que de sa grâce.

    B-1 an : Ez 13-15 & Tt 3

    B-2 ans : Ec 3 & Ac 25

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  • Grida aiuto!

    Arriva un momento in cui devi gridare a Dio dal più profondo della tua angoscia; senza preoccuparti di avere « un’aria indegna », o di sentire alcuni che dicono di te: « non ha fede ».
    Davide ha detto: «Nella mia angoscia invocai il SIGNORE, gridai al mio Dio.»
    Ogni genitore conosce questo grido. È diverso; non è una crisi d’ira né un lamento che cerca di attirare l’attenzione. No, è un grido di dolore e, anche se è notte, ti alzi subito in piedi, e corri verso il lettino per cullare il piccolo, per cambiargli il pannolino, per allattarlo o confortarlo con parole dolci.
    È proprio ciò che Dio fa per te oggi! Ascolta la testimonianza di Davide:
    «Egli tese dall’alto la mano e mi prese, mi trasse fuori dalle grandi acque… Essi mi erano piombati addosso nel dì della mia calamità, ma il SIGNORE fu il mio sostegno. Egli mi trasse fuori al largo, mi liberò, perché mi gradisce.» (Salmi 18:16-18)
    Davide ha scoperto così che Dio poteva essere «la sua ròcca, la sua fortezza, il suo liberatore» (Salmo 18:2).
    Quando sei attaccato, una fortezza è il luogo in cui il nemico non può raggiungerti, in cui puoi alzarti al di sopra delle tue circostanze minacciose. Da lassù, vedi in lontananza e sai che la prova sta per terminare. Allora, caro figlio di Dio, alza gli occhi e grida al tuo Dio perché è pronto a risponderti!

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