“Une personne généreuse sera comblée de biens en retour, celui qui donne à boire sera désaltéré” Pr 11. 25
La Bible nous offre deux autres principes divins : 1- Ne trichez pas sur ce que vous devez à l’état, en impôts par exemple. Jésus a déclaré : “Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu” (Lc 20. 25). Il ne nous appartient pas de juger comment les autorités qui nous gouvernent gèrent ces taxes. Dieu les a mises en place et nous demande de les respecter (Rm 13. 1). 2- Donnez à Dieu ce qui justement Lui appartient. Il s’attend à ce que nous Lui obéissions. Cela veut dire Lui donner 10% de vos revenus : “Apportez intégralement la dîme à la salle du trésor… Mettez-Moi donc à l’épreuve… pour voir si Je n’ouvre pas pour vous les écluses du ciel et si Je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance” (Ml 3. 10). Notez qu’Il déclare : “intégralement”, c’est-à-dire avant toute déduction. Dieu fait aussi remarquer que nous sommes redevables de la dîme et que les “offrandes” sont en sus (Ml 3. 8). Les bénédictions qu’Il vous accordera seront proportionnelles à votre générosité. Et vous devrez rendre compte un jour des bénédictions que vous avez reçues et de la manière de les gérer (Lc 12. 48). Le terrible incident concernant Ananias et Saphira devrait nous inciter à demeurer honnêtes dans la gestion de nos dons (Ac 5. 1-10). Tellement différente est l’attitude de Barnabas : “Joseph, surnommé Barnabas… possédait un champ… Il vendit son champ, en apporta le montant et le déposa aux pieds des apôtres” (Ac 4. 36-37). Randy Alcorn relate un mail qu’il reçut d’une dame, membre du comité de gouvernance de Microsoft, dans lequel elle écrit : “En tant que directrice de marketing, je dispose d’un énorme budget de millions de dollars. Qu’arriverait-il si un jour je décidai d’utiliser une partie de ce budget pour m’acheter un luxueux yacht ? Dès que mon détournement d’argent serait découvert, je serais licenciée et probablement poursuivie en justice. Mes excuses ne me sauveraient pas ! Eh bien, il en est de même avec notre position avec Dieu concernant notre gestion des biens et de l’argent qu’Il nous a confiés mais qui Lui appartiennent en propre !”