octobre 2023

  • 31/10/23

    Deuxième année : Ps 123 & Ac 22

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  • 31/10/23

    Ez 4-6 & 2 Tm 4

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  • Priez-vous pour réussir une percée ? (2)

    “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. “ 1 Jn 4. 4

    Nous nous sentons parfois découragés lorsque nous sentons que nous sommes face à un mur infranchissable, malgré nos prières et les promesses divines. N’ignorons pas que toute action que nous entreprenons en obéissant à un ordre de Dieu contrarie Satan profondément. Il fera tout pour retarder la réalisation de la promesse divine. Pensez à Daniel : après avoir reçu des révélations de grande importance (Dn 10. 3), il souhaitait mieux les comprendre aussi avait-il prié pendant 21 jours et refusé toute “nourriture raffinée” (v. 3) espérant une intervention divine. Au bout de ce laps de temps un ange est venu le rencontrer pour lui expliquer le sens des visions qu’il avait eues. Pourquoi 21 jours d’attente ? L’ange explique : “ Le chef du royaume de Perse m’a résisté 21 jours, mais Michel, l’un des principaux chefs, est venu à mon aide… Je viens maintenant pour te faire comprendre ce qui doit arriver à ton peuple dans l’avenir…” (v. 13). Ce délai n’est qu’un exemple de ce qui peut aussi arriver dans notre vie. Dieu ne nous a pas tout révélé sur les anges et les démons, mais Il tient à ce que nous soyons conscients des combats spirituels qui ont lieu autour de nous, dès que nous nous engageons à suivre l’appel divin. Quand Dieu nous envoie en mission, Satan vient nous contrecarrer, car nous risquons d’empiéter sur son territoire. Néanmoins, rappelons-nous que “Celui qui est en nous (l’Esprit de Dieu) est plus fort que celui qui est dans le monde”. Nous avons reçu les armes nécessaires pour affronter “tous les projectiles enflammés du Malin” (Ep 6. 16). Il nous appartient de faire preuve de détermination, de courage dans la prière et de lucidité : la guerre n’est pas finie. Elle ne le sera qu’au retour du Seigneur. En attendant nous aurons à affronter bataille après bataille, ainsi donc “il faut toujours prier et ne pas se décourager” (Lc 18. 1) comme nous y exhorte Jésus Lui-même.

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  • 30/10/23

    Deuxième année : Ps 122 & Ac 21

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  • 30/10/23

    Ez 1-3 & 2 Tm 3

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  • Priez-vous pour réussir une percée ? (1)

    “Ce n’est pas contre le sang et la chair que nous luttons, mais… contre les pouvoirs de ce monde de ténèbres, contre les puissances spirituelles mauvaises qui sont dans les lieux célestes.” Ep 6. 12

    La percée est un terme militaire. Quand une armée parvient à affaiblir les forces de l’ennemi à un point donné, elle peut tenter une percée à travers les lignes de défenses ennemies et ainsi conquérir du territoire. Mais réussir une percée n’est valable que si la position est stratégique. A quoi servirait de perdre des soldats pour un enjeu sans aucune valeur stratégique. En général mieux est défendue par l’ennemi la position à conquérir, plus grande est sa valeur sur le plan militaire. Notre bataille à nous n’est pas d’ordre terrestre, mais spirituel. Paul parle des puissances mauvaises qui sont dans les lieux célestes. Même si nous ne comprenons pas exactement quelles sont ces “puissances”, nous savons que notre présence et surtout notre rôle en ce monde portent atteinte à la souveraineté du diable qui considère le monde comme son territoire. Quand Jésus nous dit d’aller faire des disciples de toutes les nations (Mt 28. 19), c’est en fait un ordre à attaquer un territoire ennemi et à libérer ceux que Satan maintient sous son autorité afin de les forcer à faire sa volonté (2 Tm 2. 26). Jésus n’a jamais prétendu que notre mission serait facile ni que nous serions toujours victorieux. Les percées ne réussissent pas toujours. Nous devons accepter que les blessures soient possibles, les reculs parfois nécessaires. Néanmoins nous avons des armes sérieuses et l’Esprit Saint est là pour nous diriger en nous donnant la bonne stratégie. Les “forteresses” que l’ennemi mettra sur notre route ne sont pas imprenables, qu’elles soient un péché dont nous n’arrivons pas à nous défaire, un ou des enfants qui ne veulent pas accepter Christ, une mission qui ne se développe pas, une maladie débilitante ou incurable chez un proche… etc. Si vous vous trouvez dans de telles situations, encouragez-vous en pensant que Dieu ne nous abandonnera pas dans la bataille, et que nous devons demeurer fermes dans notre foi. La prière et parfois le jeûne peuvent permettre une percée soudaine en territoire ennemi, alors qu’humainement nous ne pouvions voir aucune issue.

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  • 29/10/23

    Deuxième année : Ps 121 & Ac 20

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  • 29/10/23

    Lm 3-5 & 2 Tm 2

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  • Dieu demeure-t-Il près ou loin de nous ?

    “Oui, comme une mère qui console son enfant, Moi aussi, Je vous consolerai…” Es 66. 13

    Dieu, s’adressant à Israël par la voix d’Esaïe déclare : “Je prendrai soin de vous comme une mère le fait pour l’enfant qu’elle allaite ; Je vous porterai sur la hanche et Je vous cajolerai sur Mes genoux. Oui, comme une mère qui console son enfant, Moi aussi, Je vous consolerai’ (Es 66. 12-13). Imaginez-vous qu’une mère puisse consoler son enfant tout en demeurant à des milliers de kilomètres de celui-ci ! Ainsi Dieu veut nous montrer qu’Il est proche de nous à tout moment de notre existence. David ne s’est-il pas écrié :“Et où fuirais-je loin deTa face ? Si je monte aux cieux,Tu y es ; Si je me couche au séjour des morts, T’y voilà. Si je prends les ailes de l’aurore, et que j’aille demeurer au-delà de la mer, là aussi Ta main me conduira, etTa droite me saisira…”(Ps 139. 7-10). Beaucoup de gens, y compris des chrétiens, s’imaginent que Dieu, étant le Créateur d’un univers infini, doit demeurer dans des régions bien éloignées de notre terre. Ils se sentent un peu perdus, écrasés par l’immensité de la création. Un pilote dont l’avion volait à près de onze kilomètres d’altitude se souvient, en regardant des villes de 10 millions d’habitants ou plus disparaître de son champ de vision en quelques minutes, avoir pensé : “Comment Dieu, caché quelque part là-haut, peut-Il contempler toutes ces minuscules créatures sur terre et savoir en même temps ce qui est en train de se passer dans leur vie ? Ou même se soucier de leurs problèmes individuels ?” Erreur classique ! 1- Dieu n’est pas un homme. Il n’est pas limité par les lois de l’espace et du temps, lois qu’Il a établies Lui-même. 2- L’espace, aussi infini soit-il, ne peut se comparer à la valeur que Dieu accorde à Ses créatures et tout particulièrement à Ses enfants en Christ. 3- Dieu est sans limites et nous ne pouvons comprendre ni Ses plans ni Ses pensées (Es 55. 8-9). La foi seule nous permet de suivre la démarche divine, pas notre intelligence. 4- Nous avons une grande valeur à Ses yeux. Son amour et Sa grâce nous sont assurés pour toujours. Dieu n’est jamais loin de notre cœur quand celui-ci crie à Lui. Harold Sala a écrit : “c’est seulement notre manque de foi qui risque de l’éloigner loin de nous !” Prions : “Que les paroles de ma bouche et le murmure de mon cœur soient agréés enTa présence, Seigneur…”(Ps 19. 15).

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  • 28/10/23

    Deuxième année : Ps 120 & Ac 19

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  • 28/10/23

    Lm 1-2 & 2 Tm 1

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  • Persévérance

    “Ne nous lassons pas de faire le bien car nous moissonnerons au temps convenable si nous ne nous relâchons pas.” Ga 6. 9

    L’histoire du bambou chinois devient une parabole pour le chrétien qui manque de persévérance. Si on sème une graine de ce bambou dans une terre adaptée, il faut ensuite s’armer de patience. Chaque jour, un peu d’eau et attendre ; un an, deux ans, trois et même cinq ans sans voir le moindre signe de croissance. Autant de mois et d’années où la tentation d’abandonner l’arrosage pourrait titiller le plus obstiné. Or, au bout d’environ deux mille jours d’arrosage sans effet, une pousse pointe enfin. Et elle s’élèvera de douze mètres en un an, rattrapant sans conteste tous les autres arbres. De fait, pendant cinq ans, alors que rien ne se produit en surface, le bambou développe d’incroyables racines dans le sol avant de soudain surgir pour une entrée triomphale dans le monde du visible. Une question peut alors se poser : le bambou a- t-il atteint ses douze mètres (et jusqu’à trente) en un an, en deux ans ou en cinq, en six ? Objectivement, il lui a fallu six ans pour atteindre sa taille, même si cela n’a été visible qu’en douze mois. Lorsque vous vous laissez arroser jour après jour par la lecture de la Parole de Dieu, il se peut que vous ne voyiez pas nécessairement de “résultat” dans votre quotidien. Mais au détour d’un événement, peut-être d’une épreuve, vous découvrez d’un seul coup que vous avez assez de foi et de ressources spirituelles pour vivre, affronter et rester debout. Mais pour pareil résultat, il ne faut pas avoir cessé d’arroser votre bambou, car il serait peut-être mort sans même que vous le sachiez. Ne désespérons pas de ne pas voir assez vite les effets de notre croissance en Dieu. “Soyez enracinés en Christ et construisez toute votre vie sur Lui. Soyez toujours plus fermes dans la foi, conformément à l’enseignement que vous avez reçu, et soyez pleins de reconnaissance” (Col 2. 7).

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  • 27/10/23

    Deuxième année : Ps 119 & Ac 18

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  • 27/10/23

    Jr 51-52 & 1 Tm 6

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  • Croissance

    “Jésus croissait en sagesse, en stature et en grâce devant Dieu et les hommes.” Lc 2. 52

    Même Jésus a dû grandir ! Et Il a dû le faire dans quatre domaines distincts : 1- Il grandissait en sagesse, c’est-à-dire qu’Il se développait intellectuellement. 2- Il grandissait en stature, c’est-à-dire qu’Il se développait physiquement. 3- Il grandissait en grâce devant Dieu, c’est-à-dire qu’Il se développait spirituellement. 4- Il grandissait en grâce devant les hommes, c’est-à-dire qu’Il apprenait à gérer Ses émotions et Ses relations sociales. Votre croissance spirituelle ne devrait pas être isolée, séparée des trois autres, mais en fait intégrée à tous les autres aspects de votre vie. C’est dans ce domaine que nous faisons si souvent fausse route ! Négliger l’un de ces domaines risque de mettre en veilleuse la croissance de tous les autres. Ne cantonnez donc pas Jésus au chapitre spirituel de votre vie. Affirmer que lire un chapitre de la Bible chaque jour garde le diable à distance est un tant soit peu artificiel ! Il est temps que vous vous rendiez compte que le Seigneur, s’Il est vraiment le Maître de votre vie, devrait contrôler en profondeur tous les aspects de votre existence. C’est seulement ainsi que la vie chrétienne devient dynamique et cesse d’être morne ou rébarbative. N’oubliez pas cependant que nous suivons tous un chemin individuel taillé à notre dimension. Chacun d’entre nous se trouve à une étape différente de sa croissance spirituelle. C’est pourquoi toute comparaison avec les autres est stupide. Ne passez donc pas votre vie à vous comparer aux autres, parce que vous n’êtes pas “eux”, vous êtes “vous” ! Chaque jour examinez ces quatre domaines essentiels et demandez : “Seigneur, sonde-moi, regarde si je suis sur la bonne voie.” Dans certains domaines tout ira bien, dans d’autres, vous aurez beaucoup de progrès à faire. Quant aux valeurs auxquelles vous croyez et aux habitudes que vous entretenez, vous découvrirez, si vous pratiquez une introspection régulière, que certaines sont bonnes et ont juste besoin d’être confirmées, que d’autres manquent de profondeur et ont besoin d’être renforcées, que d’autres sont encore sérieusement sous-développées et nécessitent beaucoup d’efforts, et que d’autres enfin sont carrément nocives et exigent de vous un esprit de repentance sincère. En conclusion, vous ne grandirez que si vous vous montrez déterminé à le faire !

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  • 26/10/23

    Deuxième année : Ps 118 & Ac 17

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  • 26/10/23

    Jr 49-50 & 1 Tm 5

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  • Retour à Béthel

    “Dieu dit à Jacob : Lève-toi et monte à Béthel…” Gn 35. 1

    Que faire quand vous vous êtes perdu en chemin, que votre réputation et votre honneur sont en ruines et que votre situation familiale est désespérante ? Jacob, qui vivait alors à Sichem, était obsédé par cette question. Il avait appris très tôt à mentir et à tricher et, grâce à ses stratagèmes douteux, il s’en était bien tiré jusqu’à ce jour-là. Mais avec l’âge, il était devenu las de sa vie d’escroc et aspirait à revenir sur le droit chemin. Malheureusement ses enfants avaient pris exemple sur le vieux maître ès escroquerie et avaient ajouté à cela une dimension de violence gratuite que Jacob ne leur avait pas inculquée. Suite à l’expédition punitive des fils de Jacob, Sichem baignait dans le sang et Jacob commençait à sentir la main glaciale de la peur envahir son cœur : sans aucun doute les Cananéens allaient s’allier pour tirer vengeance du massacre de Sichem. Rongé de désespoir Jacob leva les yeux au ciel et implora Dieu, qui lui répondit doucement : “Retourne à Béthel…” Aussi Jacob reprit-il sa route pour retourner à l’endroit où il avait un jour rencontré Dieu et reçu une vision céleste, le seul lieu où il s’était senti en sécurité et avait connu la joie d’une relation étroite avec Dieu. Une fois arrivé à Béthel Jacob s’empressa de bâtir un autel. Vous trouvez-vous dans une situation similaire ? Avez-vous chuté de façon lamentable ? Votre vie est-elle en ruines aujourd’hui ? Imitez Jacob et retournez à l’endroit où vous avez un jour rencontré Dieu pour la première fois. Mettez-vous à “genoux et bâtissez votre autel” ! Cessez de danser au bord du précipice, cessez de vivre cette vie de mensonges dont Dieu connaît de toute façon déjà tous les détails ! Empressez-vous de “retourner à votre Béthel” : vous pouvez être sûr que Dieu vous y attend. Ecoutez : “Que le coupable abandonne sa voie, et l’homme malfaisant ses mauvaises pensées ! Qu’il retourne au Seigneur qui aura compassion de lui, à notre Dieu qui ne se lasse pas de pardonner” (Es 55.7). C’est pour vous aussi que ces mots ont été écrits !

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  • 25/10/23

    Deuxième année : Ps 117 & Ac 16

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  • 25/10/23

    Jr 46-48 & 1 Tm 4

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  • Aucun d’entre nous n’est “insubmersible” !

    “Car c’est par la grâce de Dieu que vous avez été sauvés, au moyen de la foi. Ce salut ne vient pas de vous, il est un don de Dieu”. Ep 2. 8

    Le Titanic était un navire magnifique qui faisait à juste titre la fierté de la compagnie qui l’avait construit. Parce qu’il comprenait une double coque avec seize compartiments hermétiques à l’eau, les architectes qui l’avaient conçu affirmaient qu’il était insubmersible. L’un d’eux osa affirmer que “même Dieu ne pourrait pas le faire couler !” Pourtant lors de son premier voyage, alors qu’il traversait l’ Atlantique à la vitesse de 22 nœuds, avec 2224 personnes à son bord, le paquebot heurta le 14 avril 1912 un gigantesque iceberg. Il coula et en moins de trois heures se retrouva au fond de l’océan. Les hommes qui l’avaient dessiné et construit avaient de bonnes raisons d’être fiers de leur travail, mais pas de se vanter aveuglément de leur génie. On ne se moque pas de Dieu. Il règne suprême sur l’humanité et l’Histoire, et la seule position qu’il convient à l’homme d’adopter est l’humilité face à la grandeur de la divinité du Créateur. Certes l’homme est une créature merveilleuse, peut-être la plus belle réussite de la création, mais il n’a aucune raison de s’enorgueillir de lui-même. Comme le Titanic, aucun d’entre nous n’est insubmersible. Notre salut n’est pas l’œuvre de nos mains ni de notre intelligence, mais seulement la conséquence de la grâce de Dieu. C’est ce qu’affirme l’apôtre Paul quand il écrit : “Ce salut ne vient pas de vous, mais il est un don de Dieu”. L’homme trouve difficile d’accepter qu’il ne soit pour rien dans son salut. Soyons honnêtes : nous savons que notre salut vient de Lui, mais ne cherchons-nous pas trop souvent à gérer nous-mêmes nos difficultés et à faire des choix sans Le consulter ? Nous oublions que, comme les Israélites au désert nous dépendons de Lui pour tout : notre nourriture, notre santé, la protection contre les dangers et les attaques de l’ennemi. Nous avons besoin de Lui pour nous guider sur le chemin de notre vie. Tout dans notre vie est don de Dieu, ou comme le disait si bien l’apôtre Jacques : “tout don excellent et tout cadeau parfait viennent d’en-haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement, ni ombre de variation”(Jc 1. 17). Puisque nous Lui devons tout, exprimons-Lui toute notre reconnaissance et notre amour, à Lui qui nous a tant donné.

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