“Heureux… ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent !” Lc 11. 28
Jésus faisait confiance à la Parole de Dieu dans son intégralité. Pour qui nous prenons- nous quand nous disséquons la Bible, acceptant tel livre et rejetant tel autre ? Le Seigneur a clairement indiqué : “Je vous le dis, en effet, jusqu’à ce que le ciel et la terre passent, pas un seul iota ou un seul trait de lettre de la Loi ne passera, jusqu’à ce que tout soit arrivé” (Mt 5. 18). Certains croyants considèrent les récits de l’Ancien Testament comme peu fiables, et que seuls comptent les livres du Nouveau Testament, reléguant ainsi tous les livres écrits avant la venue du Christ à la bibliothèque du passé, utiles seulement comme exemples à étudier. Pourtant Jésus a accepté comme véridiques des récits comme celui de Jonas, et Il a cité des versets extraits de 24 livres de l’Ancien Testament. Il a aussi déclaré : “Nul ne peut abolir l’Ecriture” (Jn 10. 35). Si Jésus a été aussi catégorique sur ce sujet, cela nous laisse-t-il le choix de douter de la véracité d’une seule ligne de la Bible ? Souvent Jésus posait comme fondation de Son enseignement une phrase ou même un mot tiré de la Bible. Il acceptait les Ecritures comme étant dignes de confiance dans chaque détail. Mais plus que cela Il les voyait comme étant capables de changer des vies. Ecouter Sa parole ne suffit pas, il faut la mettre en pratique, lui obéir. La plupart du temps, les sceptiques pointent du doigt des récits bibliques que Jésus acceptait comme tout à fait véridiques, par exemple Adam et Eve dans le jardin d’Eden, Noé et le déluge, la destruction de Sodome et Gomorrhe ou encore l’épisode de Jonas et du grand poisson. Si Jésus croyait que cette aventure s’était réellement passée, nous devons y croire aussi. Si Jésus faisait confiance à la Bible, nous devons absolument en faire autant !